Je savais qu'il ne résisterait pas.

Vendredi après-midi, je lui ai simplement envoyé un message :

Ma nouvelle manucure est prête. Verte. Carrée. Courte. La clé sera sous le paillasson ce soir. Tu entreras, tu te déshabilleras, tu t'allongeras nu sur mon canapé... et tu m'attendras.

Je n'ai rien eu à ajouter.

Victor Varenzo sait obéir.

Le soir venu, comme prévu, il est entré. Nu. Il s'est allongé, docile, sur mon canapé.

Moi, je suis arrivée plus tard.

Vêtue d'un simple string noir en dentelle, laissant entrevoir la douceur de ma peau blanche et, par transparence, le tracé évident de ma fente. Mon soutien-gorge assorti épousait parfaitement mes formes. Mes cheveux blonds lâchés tombaient sur ma poitrine lorsque je me suis agenouillée entre ses jambes. Pieds nus. Silencieuse. Précise.

Je n'ai pas dit un mot. J'ai simplement tendu les mains. Mes ongles verts parfaitement nets ont effleuré step-son sexe, d'abord à peine, comme une caresse suspendue. Je l'ai vu se tendre, frémir, retenir sa respiration. Il était déjà trop excité.

Alors j'ai continué.

Je l'ai stimulé lentement, méthodiquement, le regardant droit dans les yeux. Puis, je me suis penchée légèrement, et, sans prévenir, j'ai laissé tomber un mince filet de salive depuis ma bouche directement sur step-son sexe. Il a sursauté. Mon liquide chaud l'a recouvert avec justesse. Je l'ai réparti avec soin, glissant mes doigts de haut en bas, comme pour mieux lui faire comprendre qu'il n'avait plus aucun contrôle.

Les minutes ont passé. Je jouais sur lui comme sur un instrument. Il était proche, trop proche. C'est lui qui a demandé une pause. Il voulait tenir plus longtemps, retarder l'inévitable.

Mais la pause a eu un prix.

Pendant qu'il reprenait step-son souffle, step-son érection a lentement faibli. Et ma salive s'est évaporée. Je n'ai pas dit un mot. Je me suis levée, suis allée chercher un petit flacon sur la table, et j'ai versé un peu de lubrifiant dans mes paumes. J'ai frotté mes mains l'une contre l'autre, lentement, puis je suis revenue m'agenouiller devant lui.

Mon regard ne quittait pas le sien.

Mes mains, enduites, ont repris leur danse.

Et là, il n'a plus tenu.

Step-son corps s'est tendu, ses jambes ont frémi, sa respiration est devenue hachée. Il a craqué. Il a joui dans mes mains, violemment, sans retenue, dans un mélange de soulagement, de perte de contrôle, de gratitude.

Et moi... j'ai souri.

J'ai laissé sa semence glisser entre mes doigts, chaude, épaisse, offerte. Puis je l'ai étalée doucement sur mes mains, la massant comme une crème précieuse. Je savourais chaque mouvement, chaque sensation. Step-son plaisir devenait ma texture.

Et mes doigts, vernis de vert, brillaient encore d'humidité.

-Tu vois, Victor... même ton attente nue fait déjà partie du jeu.

Mlle Ophéline

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